Dans les salles…

L’Elu à Grenoble

Organisé par

l’Espace des Cultures juives de Grenoble

C’est au cinéma d’Art et Essai La Nef que l’Espace des Cultures juives de Grenoble a organisé, dans le cadre de DIASPORAMA, la projection de l’avant-première du film mythique L’Elu, dans une version restaurée.

Le film de Jérémy Kagan, tiré du chef d’œuvre de Chaïm Potok, réalisé en 1981, met en scène l’amitié de deux jeunes juifs new yorkais dans les années 40.

Leurs différences de caractère et de valeurs les fascinent avant de menacer de les opposer. Le public, ravie de redécouvrir cette création sur grand écran, a plébiscité la mise en valeur dans le festival, d’œuvres cinématographiques patrimoniales comme celles-ci.

C’est en effet l’une des caractéristiques du festival cette année : faire découvrir ou redécouvrir des classiques !    

A Neuilly sur Seine

Organisé par

Le Centre Culturel & Communautaire Jérôme Cahen

Exceptionnelle soirée au Cinéma de  Neuilly  sur seine pour la projection en avant-première du film de Vadim Perelman – Les Leçons Persanes  – présenté en ouverture du Festival Français du Film Juif – Dia(s)porama en présence de Jo amar du Fsju   et de l’historien Alexandre Bande

Le CCJC partenaire du festival Dia(s)porama avait souhaité présenter un film qui rende hommage aux victimes de la Shoah et marquer ainsi son attachement au devoir de mémoire et à sa transmission. 

Le film tant historique que dramatique est  le récit d’un improbable mensonge au nom de la survie excellemment bien joué par les acteurs principaux dans un face à face angoissant et haletant où le juif apeuré, pour échapper à une mort quasi certaine devra prétendre être persan et enseigner de fait, un faux farsi à un haut gradé nazi tantôt pervers ou affectueux. Si Perelman, le réalisateur  a su rendre hommage à tous les persécutés et à l’ingéniosité et la résilience de certains, la perception de cette fiction a cependant été  nuancée par l’intervention percutante de notre invité Alexandre Bande.

En effet à l’issue de la projection , l’historien est revenu apporter des explications historiques et contextuelles nécessaires à la bonne compréhension de ce film qui oscille entre récit dramatique et fable rocambolesque. C’est avec une humilité qui contrastait avec son immense maitrise du sujet et de la période qu’il a  su répondre aux interrogations légitimes  de l’auditoire suscitées par ce film notamment sur le décalage inhumain qui existait  entre la dureté quotidienne des camps et la routine des soldats bourreaux. Également interrogé en  sa qualité d’enseignant et de professeur il a évoqué les obstacles  à continuer d’enseigner la Shoah dans un climat défavorable et parfois hostile mais qui selon lui n’est pas menacé en France contrairement à d’autres pays européens . 

A Nogent sur Marne

Organisé par

La Maison de la Culture Juive de Nogent

Après Neuilly sur Seine, c’est à Nogent-sur-Marne que le film de Vadim Perelman Les Leçons persanes a été projeté au cinéma le Royal Palace.

Organisé par la Maison de la Culture Juive de Nogent, la projection a remporté un vif succès auprès du public ! Sylvia Uzan, sa directrice a remercié les spectateurs venus nombreux à cette séance, ainsi que Ophir Lévy, maître de conférences en études cinématographiques à Paris, venu présenter le film et répondre aux questions de l’auditoire.

Fabienne Cohen-Salmon, directrice adjointe de la vie associative et culturelle au FSJU a rappelé l’envergure du Festival qui se déroule cette année en ligne et en salle, et a remercié la mobilisation de l’ensemble des centres culturels à travers la France qui se sont associés à l’événement, notamment l’implication de Sylvia Uzan. Ophir Lévy a introduit le film en expliquant le contexte de sa création et en présentant le réalisateur. A la fin de la projection, le film a suscité de nombreuses questions et réactions du public, tant sur le fond comme sur la forme : la lutte pour la survie dans les camps, la trame narrative, raconter la Shoah à travers « une fable », mais également l’esthétique du film….autant d’échanges riches entre le public et Ophir Lévy qui ont permis d’avoir des clefs de lectures pertinentes de cette œuvre.      

Le centre culturel juif libéral occitan (CCJLO) et l’Association des Juifs Libéraux de Toulouse ont organisé sous l’égide de la délégation régionale du FSJU, jeudi 20 janvier, la projection du magnifique film Leona sélectionné dans le cadre du festival Dia(s)porama. Portée par le FSJU et le Centre d’Art et de Culture, principalement diffusée en ligne, la programmation 2022 a fait l’objet de quelques soirées en présentiel dans l’hexagone, notamment au sein de la ville rose. Ainsi, la salle Jérusalem de l’Espace du Judaïsme s’est transformée le temps d’une séance en salle obscure pour accueillir une soixantaine de participants cinéphiles qui n’ont pas hésité à braver le froid hivernal et les caprices de la crise sanitaire.

Dans l’œil de la caméra du jeune réalisateur mexicain Isaac Cherem, l’histoire d’Ariella et d’Ivan a bouleversé le public. Ce thème difficile évoquant cette histoire d’amour entre une jeune fille juive vivant à Mexico et un jeune homme non juif est traité sans partie pris, avec beaucoup de réalisme, de sensibilité et de pudeur. Il permet aussi de découvrir une communauté juive avec ses règles sans concession et pose cette question terrible : « Est-ce l’amour qui est le plus important dans un couple » ?

En tout cas, le regard porté par ce festival sur ces films internationaux a séduit les toulousains…à refaire très vite !!

Léona à Toulouse

Organisé par

l’AJLT le CCJLO et

la délégation régionale Sud-Ouest du FSJU

Organisé par

Le Centre culturel André Néher de Nantes

Kiss Me Kosher à NANTES

Le Centre culturel André Néher de Nantes a organisé la projection du film de Shirel Peleg « Kiss Me Kosher » qui a reçu le Prix du Jury au Miami Jewish Film Festival en 2021 !

La communauté juive de Nantes s’est ainsi réunie pour un « dimanche cinéma » et a pu découvrir cette création inédite en France : une histoire d’amour pour le moins subversive entre des cultures et des familles qui s’affrontent, une mésaventure romantique qui traverse toutes les frontières ! Udi Kivity, administrateur du CCAN a présenté le festival Diasporama auquel le Centre s’est associé. Cette initiative a permis au public nantais de se retrouver et d’échanger autour d’une activité culturelle originale ! Une expérience que le CCAN souhaite renouveler l’année prochaine.

C’est l’un des coups de cœur du festival Diasporama que l’ECUJE a accueilli jeudi 27 janvier.

La chanteuse icône de la musique judéo-marocaine Raymonde El Bidaouia a été l’objet d’un documentaire réalisé par sa fille non moins célèbre, l’actrice Yaël Abecassis que le public connaît pour ses rôles dans Va, vis et deviens, ou encore Kadoch.

D’une grande profondeur et d’une grande sensibilité, le documentaire suit la mère et la fille, entre le Maroc et Israël, entre morceaux de concerts et moments intimes de dialogues aux allures de psychanalyse.

La projection était précédée d’une rencontre exclusive en duplex avec Yaël Abecassis, interviewée par Gad Idgui, directeur général de l’ECUJE. On a ainsi pu découvrir pourquoi elle a souhaité réaliser ce film, ce qu’il lui a apporté, et également ce qu’elle a pu découvrir de sa mère qu’elle ne connaissait pas. Une interview toute en confidences à laquelle Yaël s’est prêtée. « C’est un moment important pour moi ! » a-t-elle indiqué devant un public conquis !  

Raymonde El Bidaouia à Paris

Organisé par L’ECUJE

Le film « Syndrôme K » a été projeté dans la salle, de l’association culturelle juive à Nancy, jeudi
27 janvier à 18h30.

La communication avait été faite en amont, auprès de tout notre listing d’adhérents
et sympathisants (environ 620 personnes), sur Facebook, auprès de l’Est Républicain
(presse locale), sur le site de la ville de Nancy et sur notre site internet
(www.acj55.fr).

Une quarantaine de personnes étaient présentes.
La séance a été ouverte par M. Jean-Pierre Kahn, coprésident de l’association.

SYNDRÔME K à Nancy

Organisé par

L’Association Culturelle Juive de Nancy

Le même soir avait lieu une autre manifestation de grande ampleur, nous étions
donc satisfaits du nombre présent dans notre salle.

Un échange très intéressant a eu lieu après le film. Nous avons la chance d’avoir
parmi nos membres du bureau, un professeur d’université historien, secrétaire,
ancien président … et ami. Il a enrichi et complété cette projection en apportant des
précisions et en répondant aux questions posées.
Nous sommes heureux d’avoir pu participer à ce festival.
Nous espérons que vous avez eu du succès et que beaucoup de personnes ont pu se
connecter sur votre site pour profiter des films inédits proposés.